20221013 - Mondo Cane (Chienne de vie) - Paolo Cavara, Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi - 1962 - Italie
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20221013 - Mondo Cane (Chienne de vie) - Paolo Cavara, Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi - 1962 - Italie
Scorpio Killer, seul au video-projecteur.
C'est Addio Africa qui m'a donné envie de voir ce film, le créateur du genre.
Le genre, c'est le "Mondo". Alors oui, je connaissais le Mondo Trash de John Waters, et le Mondo Topless de Russ Meyer mais je ne savais pas qu'il ne s'agissait que de leur contrinution à ce genre créé dès 1962 en Italie.
Le Mondo, c'est donc cette approche pseudo-documentaire, très crue, qui peut flirter avec l'ultra-violence, le porno, le snuff, enfin toujours du mauvais goût... mais ça peut être instructif.
Mondo Cane est donc le premier du genre, et il tape déjà très fort.
On se promène dans le monde entier, c'est une suite de petits documentaires où l'on assistera à un festin d'insectes, un "culte du cargo" et même à une séance de création de "l'artiste" Yves Klein.
Quand celui-ci vit le film, il eut un malaise cardiaque et mourut peu après.
Il faut dire que l'approche du film n'est pas très progressiste et ne fait pas l'éloge des méthodes propres à l'art contemporain...
Le film a été présenté au Festival de Cannes (en 63 ou 64) mais il n'a pas reçu de récompense (quand même !)
Un film culte donc, à voir absolument pour ceux qui n'ont pas froid aux yeux.
C'est Addio Africa qui m'a donné envie de voir ce film, le créateur du genre.
Le genre, c'est le "Mondo". Alors oui, je connaissais le Mondo Trash de John Waters, et le Mondo Topless de Russ Meyer mais je ne savais pas qu'il ne s'agissait que de leur contrinution à ce genre créé dès 1962 en Italie.
Le Mondo, c'est donc cette approche pseudo-documentaire, très crue, qui peut flirter avec l'ultra-violence, le porno, le snuff, enfin toujours du mauvais goût... mais ça peut être instructif.
Mondo Cane est donc le premier du genre, et il tape déjà très fort.
On se promène dans le monde entier, c'est une suite de petits documentaires où l'on assistera à un festin d'insectes, un "culte du cargo" et même à une séance de création de "l'artiste" Yves Klein.
Quand celui-ci vit le film, il eut un malaise cardiaque et mourut peu après.
Il faut dire que l'approche du film n'est pas très progressiste et ne fait pas l'éloge des méthodes propres à l'art contemporain...
Le film a été présenté au Festival de Cannes (en 63 ou 64) mais il n'a pas reçu de récompense (quand même !)
Un film culte donc, à voir absolument pour ceux qui n'ont pas froid aux yeux.
Scorpio Killer- Admin
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Date d'inscription : 11/02/2010
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